Un breve resumen para mis amigos hispanohablantes de las alucinantes (e irrecuperables) palabras pronunciadas ayer por el « presidente » francés Emmanuel Macron en el diario Le Parisien:
– Dijo que iba a arruinar la vida de todas las personas no « vacunadas », y que iría hasta el final (utilizó el término muy fuerte de « emmerder » = « fastidiar ». Se cree un youtuber ¿ o qué ?…).
– Dijo que las personas no « vacunadas » ya no éramos ciudadanos porque éramos « irresponsables ». Así que, simbólicamente, pretende privarnos de nuestra nacionalidad y tratarnos como ciudadanos de segunda clase.
Aquellas declaraciones no sólo son extremadamente graves viniendo de un presidente (porque considerar a una persona que no ha sido « vacunada » como « contagiosa » o « enferma », y luego como responsable de una pandemia-fantasma, es una estupidez tremenda : ¡ no tenemos que aceptar ser los chivos expiatorios de una crisis sanitaria de la que no tenemos la culpa !) pero además despótico (porque Macron no tiene derecho a considerarnos como « subciudadanos », o peor aún, « a-ciudadanos », a los que se les quitan todos los derechos, e incluso la nacionalidad, y a los que se les desea un infierno, ¡ ni más ni menos !)
Petit résumé pour mes amis hispanophones des mots hallucinants (et irrattrapables) tenus hier par le « président » français Emmanuel Macron dans le journal Le Parisien :
– Il a dit qu’il allait pourrir la vie de tous les non-« vaccinés », et qu’il irait jusqu’au bout (il a employé le terme très fort d’ « emmerder », qui est très fort en français : il se prend pour un youtuber, ou quoi?).
– Il a dit que nous, personnes non-« vaccinées », n’étions plus des citoyens parce que nous étions des « irresponsables ». Donc symboliquement, il compte nous déchoir de notre nationalité, et nous traiter comme des citoyens de seconde zone.
Non seulement ces propos sont gravissimes pour un président (car considérer une personne non « vaccinées » comme « contagieuse » ou « malade », puis ensuite responsable d’une pandémie-fantôme, c’est d’une stupidité sans nom : nous n’avons pas à accepter d’être les boucs émissaires d’une crise sanitaire à laquelle nous n’y sommes pour rien !) mais en plus despotique (car Macron n’a pas le droit de nous considérer comme des « sous-citoyens », voire pire, des « a-citoyens », à qui on retire tous les droits, et même la nationalité, et à qui on souhaite l’enfer, ni plus ni moins !).