Le spectacle Madame de Florence Foresti célèbre la Bête de l’Apocalypse ciselée par la Franc-Maçonnerie

Incroyable mais vrai ! Dans cet article « Le Coronavirus, c’est la fête à la Bête, en fait ! » que j’ai écrit cet après-midi, j’explique que la Bête luciférienne de l’Apocalypse s’appuie principalement sur 3 matières énergétiques pour asseoir son pouvoir sur le Monde actuel – l’or, l’électricité et le soleil (héliocentrisme) – en présentant ces dernières comme des dieux naturels (je vous renvoie au chapitre 2 de mon livre Homo-Bobo-Apo).
 

Et ce soir, pour me détendre de cette première journée de confinement total, j’ai regardé pour la première fois sur le site de TF1 le spectacle de Florence Foresti, Madame (que j’ai trouvé assez indigent, au passage). Et j’y ai retrouvé exactement ce que je dis sur la Bête et ses supports physiques :
 

 

– Tenez-vous bien : dès son apparition sur scène, dans la chorégraphie, l’humoriste fait lever la lumière électrique, commande aux spots et les accompagne dans un mouvement ascensionnel commun.
 

 

– Ensuite la première réplique de son spectacle est héliocentrique (« hélios », c’est le soleil en grec ; et l’héliocentrisme est le culte du soleil) et bestiale : « Calmez-vous. Je termine ma salutation au Soleil. Le chien tête en haut ! Le chien tête en bas ! ». Mais elle est également maçonnique. « Ce qui est en bas est en haut » dit la formule consacrée de l’analogie moniste appliquée à l’espace, que l’on retrouve dans la Table d’Émeraude (texte fondateur des francs-maçons) mais également dans l’enchâssement de l’équerre et du compas (typique de la Franc-Maçonnerie). Sans compter que Foresti prend une pose de triangle ou d’équerre…
 

 

– Au milieu du spectacle, Foresti évoque l’or et regrette de ne pas attirer l’idolâtrie aurique mondiale qui aurait fait d’elle une grande égérie ou Muse : « Je n’inspire pas l’or… Je ne suis pas une femme à bijoux. ».
 

– Enfin, la réplique finale de son spectacle bobo misanthrope caractérisé par la jalousie, est à l’image de sa première vanne héliocentrico-bestiale : « Qui est-ce qui a dit que tu ne pouvais pas viser les étoiles ? … On relève le museau et on se fait appeler ‘Madame’. »
 

– Dernier détail : à un moment, l’éclairage scénique dessine un « W » cubique derrière l’humoriste. Là encore, c’est une des lettres de la Bête (c.f. mon article sur l’alphabet antéchristique).
 

 
 

Voilà. La Nouvelle Religion mondiale est aurique, électrocentrée et héliocentrique. Bref : bobo. (Et ne vous étonnez pas que ce spectacle ait été tournée à Boboland : Lyon. Le paradis de la bière… et des francs-maçons).