Vraiment très intéressant, cet exposé de Laëticia Marty. Je crois que la Marque de la Bête (sur la main ou le front) sera vraisemblablement composée de feuillets de graphène sensibles à la lumière (électrique, neuronale, solaire…). Ce ne sera pas tant une puce RFID subcutanée, mais plutôt un tatouage adhésif électromagnétique, muni de capteurs et de nanoparticules supraconductrices sensibles aux champs électro-magnétiques, qui épousera « parfaitement » notre ergonomie/physiologie corporelle, et qui n’aura pas de volume, pas d’épaisseur (le graphène est biocompatible! transparent, conducteur et flexible !).
Et le plus fou, c’est la phrase de conclusion du « talk » de cette spécialiste du graphène. Elle dit quelque chose qui corrobore complètement ce que je vous ai dévoilé sur les 4 caractéristiques de la Marque de la Bête (1- hétérosexualité ou culte des différences et de la diversité absolue ; 2 – Puce RFID subcutanée animalisée en 666 ; 3 – Référence aux passions ; 4 – Humanisme intégral) lors de la « Soirée Dissidence 3 » : « En nanosciences, la diversité apporte beaucoup de richesses. »