Parce que l’Histoire humaine et la Bible le montrent largement – Sodome et Gomorrhe, la civilisation gréco-romaine, la civilisation nazie (rien qu’en 1933, on comptait 131 bars homos à Berlin, plus qu’aujourd’hui à Paris), etc. –, parce que les spécialistes commencent également à l’annoncer et à tirer la sonnette d’alarme, je peux me permettre maintenant de le dire sérieusement aussi : la pratique homosexuelle, s’attaquant au socle universel d’existence et d’amour humain qu’est la différence des sexes, pratique de plus en plus justifiée socialement sous forme d’« amour » et de loi (inter)nationale, est un symptôme fort de décadence civilisationnelle. Elle est l’indice symbolique concret que notre monde se ment à lui-même, que la fin du monde est proche. L’arc-en-ciel a toujours annoncé et précédé l’orage. Et j’ai largement étudié dans mes écrits les liens non-causaux réels entre désir homosexuel et conflit mondiaux, entre désir homosexuel et Apocalypse (cf. ces quatre codes : 1, 2, 3 et 4). Donc nul catastrophisme ni théâtralité de ma part dans ce simple rappel eschatologique. Juste un constat. Banaliser socialement voire éloigner et éradiquer la différence des sexes de notre quotidien, cela revient à banaliser toute l’Humanité et à détruire notre planète à plus ou moins long terme (et je ne me réfère même pas à une mort démographique, car celle-ci ne risque pas d’arriver).
Au passage, constater que la justification collective de l’homosexualité constitue un indice capital d’autodestruction d’un monde ne stigmatise absolument pas les personnes marquées d’homosexualité durable. Un signe n’a jamais été une cause. Un baromètre indique les tendances : il ne les crée pas. Et ce n’est pas la pratique homo ni sa banalisation/justification/diabolisation mondiale qui précipite directement le monde vers son autodestruction finale. En revanche, le désir que portent les personnes durablement homosexuelles est un voyant rose important, une contraction pré-natale très significative, car elle nous indique que la fin d’un monde et le début d’un autre sont en marche, sont proches, très proches.
Loin de nous attrister ou de nous paniquer, la déconstruction et le démembrement social qu’impose l’idéologie pro-gay à de plus en plus de continents et à de sphères politico-médiatiques, doivent nous maintenir en veille et nous réjouir. D’une part pour notre monde : ça veut dire que Jésus n’est pas loin de revenir nous chercher, d’apparaître dans le Ciel, donc c’est le moment de se convertir, de se faire tout beau pour lui, de devenir irréprochable, de se préparer au martyr et au témoignage, de se lancer dans des grands projets tout donnés à Jésus et aux autres, de partir appeler les ouvriers de la dernière heure, car le temps qu’il nous reste nous est compté. D’autre part c’est réjouissant pour les personnes homosexuelles elles-mêmes : le fait qu’elles portent – par cette orientation sexuelle qui leur colle parfois à la peau – un vrai indicateur de cataclysme mondial les place d’emblée dans un rôle d’évangélisateurs de premier plan, de Jean-Baptiste, de rassembleurs chargés d’appeler avec insistance à la conversion des cœurs. Superbe rôle pour tout le monde et pour tous ceux qui comprennent sans ricaner et sans se révolter que la banalisation mondiale de l’homosexualité indique une précipitation collective vers la Troisième Guerre mondiale, un stade avancé de la décadence universelle, une fin inéluctable.
Alors préparons-nous. Calmement et hâtivement. Dans le jeun, la prière et l’annonce de l’Évangile. Ne tardons pas à changer notre cœur, à aller nous confesser régulièrement auprès des prêtres, à faire pénitence, à rester centré sur la Vierge, à vivre plus modestement et plus chastement. Rappelons aussi aux personnes homosexuelles leur belle et paradoxale responsabilité. D’annonciatrices de mort qu’elles semblent être, elles peuvent, en ne pratiquant pas leur homosexualité mais en la donnant aux autres et à Dieu, devenir des sauveteurs inattendus et puissants, des contrôleurs techniques de l’Arche de Noé, aux côtés des personnes non-homosexuelles, prendre le rôle de pêcheurs d’Hommes juste avant l’arrivée du tsunami fatal. Que ceux qui ont des oreilles entendent.