Archives de catégorie : Gouvernement Mondial

Alien Theory

Je suis en train de regarder en direct l’émission-documentaire « Alien Theory », sur la chaîne Numéro 23. Soi-disant scientifique. Mais qui fait en réalité l’apologie du diable.
 

Ce qui est bluffant, c’est que ce documentaire présente Satan comme un esprit supérieur, un gentil Prométhée qui est venu apporter le Savoir et la « connaissance divine » à l’Humanité, et qui aurait été décrit par les catholiques et les traditions religieuses comme un ignoble monstre parce que ces derniers auraient voulu maintenir les êtres humains dans l’ignorance et dans la soumission. « Satan a été incompris et dénaturé par l’Histoire. Or il était là pour nous civiliser, nous aider. » ; « Ce personnage était peut-être bon… » ; « Le diable n’est sans doute pas le méchant qu’on nous a dépeint. La Lumière n’existe pas sans l’obscurité. Ni le bien sans le mal ». C’est bien entendu la thèse manichéenne et relativiste de la Franc-Maçonnerie : elle inverse le Bien et le mal, et fait passer Satan pour la victime d’un Dieu jaloux et qui voulait garder son savoir pour Lui. Ce sont les thèses de la Franc-Maçonnerie : le Grand Architecte (Dieu) serait le méchant, et Satan le gentil Prométhée venu dérober le feu de la Connaissance aux Hommes pour partager l’énergie divine. La Bible aurait tronqué la Vérité historique. L’Humanité serait originaire de la civilisation des Annunakis, des extraterrestres à forme humaine qui auraient créé la race humaine à partir de leur propre ADN. Le documentaire avance que si Noé a vécu 800 ans, c’est qu’il était porteur de gènes des rois sumériens extraterrestres, des déités Annunakis de Mésopotamie ayant un ADN d’immortalité.
 

Ces émissions venant des États-Unis, mais dont les messages se retrouvent dans beaucoup de médias en France, développent la théorie selon laquelle les religions sont méchantes et jalouses du diable parce qu’elles auraient voulu l’exclusivité de la possession de la Science divine et humaine.
 

Clou du spectacle : le documentaire remet en cause la véracité des possessions démoniaques, et l’existence des esprits démoniaques.
 

La grande inversion est en marche.

Même Maître Gims se met au X

Maître Gims
 

Même Maître Gims, avec son Vortex, se met au X, triangle, sablier, rond…
 
Vortex Maître Gims
 

« Maestroianni avait abandonné toutes les images et idées de sa foi initiale, qui l’ulcéraient tant chez le Pape slave : toute cette imagerie de la Royauté du Christ, de la Royauté de Marie, de l’Église assimilée au Corps Mystique du Christ. Aux yeux de l’Archevêque Maestroianni, ‘la force derrière les forces’ de l’histoire avait cessé d’être dans les mains du Christ en tant que Maître de l’histoire humaine. Pour lui, cette ‘force derrière les forces’ était une image remisée dans un mystérieux inconnu ; elle n’était désormais pas plus cohérente que le facteur X, élément capital, mais non identifiable des affaires humaines. Les activités de l’Archevêque provenaient en totalité de la compréhension croissante qu’il avait du Processus ; elles étaient liées aussi à sa vénération croissante de ce mystérieux facteur X, la véritable ‘force derrière les forces’, selon lui. Tout cela s’articulerait à merveille dans son esprit. La seule manière logique de servir cette ‘force’ primale était de passer par le Processus. Il s’agissait d’aider celui-ci à avancer vers l’objectif ultime de la force : l’homogénéisation culturelle, politique, sociale, économique de toutes les nations de la terre. Compte tenu de cet objectif ultime, il allait de soi qu’une des principales cibles de la conquête ‘culturelle’ entreprise par le Processus était forcément l’Église catholique romaine. Ou, pour être plus précis, l’organisation systémique de l’Église catholique romaine. Ce qui n’était pas acceptable – ce qu’il fallait éradiquer dans l’organisation structurelle de cette dernière -, c’était la prétention qu’elle avait toujours eue de détenir une autorité absolue dans les affaires humaines. Car pour l’essentiel, cette prétention ne pouvait être compatible avec les exigences du Processus. De plus, afin d’éradiquer la prétention qu’avait l’Église catholique romaine de détenir une autorité absolue en matière morale, le Processus devait en finir avec l’autorité traditionnelle de la papauté elle-même. » (Cardinal Maestroianni, franc-maçon, dans le roman La Maison battue par les vents (1996) du père Malachi Martin, p. 100)

La solidarité et la fragilité : les nouvelles monnaies d’échange de la corruption mondiale

 

Je me pose beaucoup de questions en ce moment sur la passion collective pour ceux qui sont appelés « les plus fragiles et les plus vulnérables », sur l’utilisation médiatique du handicap, des personnes malades, de ceux qui ont vécu un grand drame et qui essaient de s’en sortir par la force de leur courage, de leur volonté, de leur souffrance et de leur Espérance, de l’entraide qui les entoure. Je m’interroge sur ce rapport – émotionnellement chargé mais savamment dosé et faussement humble – à la souffrance, aux « petits ». À la fois il y a objectivement de belles choses et c’est fait sans dolorisme, sans voyeurisme ; à la fois il me manque quelqu’un. Jésus. Son silence et son secret. Donc je sais que quelque part, il y a un piège et un orgueil qui me ment, qui m’embobine. Ma résistance à ces images de solidarité est bien plus justifiée, je crois, qu’une simple paranoïa qui verrait le mal là où il n’est pas, qu’une insensibilité et qu’une incapacité à me laisser toucher, insensibilité qui paraîtra même pathologique aux yeux du naïf qui s’émerveille facilement des vidéos qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux et qui nous somment de « TOUS nous émouvoir !!! », de « TOUS rentrer dans la grande vague de l’euphorie collective mondiale en faveur de la solidarité et de la vulnérabilité ».
 

Si le seul message de conclusion qui est tiré de ces mises en scène d’actes concrets de Charité, c’est la « Justice de l’Homme », c’est la « confiance en soi et aux autres », c’est « Engage-toi pour un monde plus humain, Partage avec celui qui est dans le besoin, Aide le frère plus petit que toi », « Dans la vie, on peut tous y arriver, On mérite tous de s’en sortir, On a tous une place sur cette planète, Il faut de tout pour faire un monde », « J’aide un enfant trisomique à réaliser son rêve, J’offre un peu de joie et de ma notoriété pour partager ma gloire médiatique, L’important c’est l’égalité des chances et la rage de vaincre/de vivre », si la solidarité est un affichage (même émouvant) en même temps qu’un acte concret qui a le mérite d’être posé, quelle est la valeur de ma bonne action ? À qui je la rends ? (Certainement pas à Jésus et au secret qu’est l’Amour vrai). Je sers alors deux maîtres : Dieu et le paraître. La charité finit par s’évaporer dans la vibration de l’instant et de ma propre émotion d’aider, dans l’illusion d’un bonheur partagé éphémère (la « beauté du geste solidaire », on dit !), dans la glorification de ma propre volonté ou de la volonté de celui que j’aide, dans la sacralisation d’une philantropie spontanée et de l’ « agir en humanité » en lui-même. Je me sers du pauvre ou du fragile pour mettre en avant ce que je crois être ma propre bonté. Je reçois immédiatement ma récompense. Et c’est ça qui ne va pas.
 

La solidarité et l’émotion sont vraiment en train de devenir la dernière illusion de Dieu qui reste aux bobos pharisiens « humanistes intégraux » voulant se consoler d’avoir viré le Christ et son Église, et de les avoir remplacés par la bonne action et la technologie transhumaniste.
 
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« Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie où habitait Lazare, qu’il avait réveillé d’entre les morts. On donna un repas en l’honneur de Jésus. Marthe faisait le service, Lazare était parmi les convives avec Jésus. Or, Marie avait pris une livre d’un parfum très pur et de très grande valeur ; elle répandit le parfum sur les pieds de Jésus, qu’elle essuya avec ses cheveux ; la maison fut remplie de l’odeur du parfum. Judas Iscariote, l’un de ses disciples, celui qui allait le livrer, dit alors : ‘Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum pour trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données à des pauvres ?’ Il parla ainsi, non par souci des pauvres, mais parce que c’était un voleur : comme il tenait la bourse commune, il prenait ce que l’on y mettait. Jésus lui dit : ‘Laisse-la observer cet usage en vue du jour de mon ensevelissement ! Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.’ » (Jean 12, 1-11)

Voilà ce qui se passe quand on soutient l’humanisme intégral #HumanAppeal

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Maintenant, des musulmans font même de la pub sur Allociné en surfant sur l’humanisme intégral… #HumanAppeal
 
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Beaucoup de « catholiques » (à la sauce Écologie humaine) tombent en ce moment dans les pièges de l’humanisme intégral, la cheville ouvrière du Gouvernement Mondial Antéchristique, qui prétend que l’Homme peut se sauver par lui-même et par ses propres actes de créativité et solidarité.
 
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Or, seul Jésus sauve. L’Homme ne se sauvera jamais lui-même. Le Peuple non plus. La Charité sans le Christ non plus (étant donné que le Christ est la Charité incarnée).
 
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Triangle maçonnique

 

Eurêka ! Je crois que j’ai compris la combinaison maçonnique du triangle en X (l’anti-Croix du Christ) avec le rond et le carré. L’Homme comme base et point de sa propre divinité ! Déjà, dans mon mémoire de DEA, en 2003, j’avais grâce à Jésus flairé la piste de l’Homme microcosmique qui se prend pour le Tout divin qui va l’engloutir, à travers mon étude du sablier satanique (rond + triangles + carré). Alléluia !
 
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L’Homme antéchristique comme base de lui-même (triangle). C’est là ! Le sablier ! La quenouille ! C’est prométhéen, icarien, luciférien.