Archives de catégorie : Gouvernement Mondial

La vraie forme de la puce électronique

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Ce qui m’intéresse dans cette pub qui m’a été imposée sur Facebook (alors que je n’avais rien demandé… comme de plus en plus de publicités subventionnées par la Franc-Maçonnerie et le Gouvernement Mondial à l’heure actuelle : par exemple la Rose-Croix, la méditation transcendantale, etc.), c’est ce qu’elle donne à comprendre sur la forme que prendra la puce électronique. C’est le numéro de téléphone !
 

La puce sera effectivement intériorisée en l’Homme (sous forme de mot de passe, de code barre, de clé, pour « s’identifier »), mais tout son contenu et ses potentialités sera quant à lui extériorisé, numérisé/numérologisé, confidentialisé, invisibilisé, virtualisé, verrouillé, stocké et contrôlé par un grand ordinateur (la Bête) qui aura préalablement fiché tous les êtres humains… de telle sorte que l’Homme aura l’impression à la fois de posséder sa vie en lieu sûr et de pouvoir agir mal en toute confidentialité, sans que ce qu’il souhaite ne pas montrer ne puisse apparaître au grand Jour.
 

La Bête technologique sera son Jardin Secret. Sa banque de données et d’actions extérieures qui le « délivrera » de la culpabilité et du regard d’autrui. Le numéro de téléphone unique décentralisé (un 666 subtilement marketé, esthétisé), par lequel tout le monde sera censé passer pour ensuite accéder à son intimité, son espace personnel, ses contacts, ses actions. La puce est au fond ce numéro mondial à la fois unique et adapté à chacun, qui permettra d’accéder au disque dur externe démoniaque.
 
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La propagande de la Méditation Transcendantale

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Voilà les publicités qu’on nous impose de plus en plus sur Facebook (sur la MT : Méditation Transcendantale) sans qu’on n’ait rien demandé à personne, et qui rejoignent exactement le péril de la « Religion naturelle » que veulent instaurer l’Antéchrist et le Gouvernement Mondial noachide (= la quête d’un « au-delà de soi » sans le Christ). Toujours avec cette illusion de bonheur, d’autonomie, de non-violence, de solutions aux problèmes, de gratuité, de solidarité, etc. Tout sauf la Croix. Attention danger !
 

 

Séduction, manipulation, simulacre de « Paix »… les propositions (comme le reiki) sont nombreuses en entreprises, à l’école, dans le monde médical et sur les réseaux sociaux. Alors prudence et surtout discernement. Allez voir le site du Père Verlinde, un bon référent.

Onomatopées : Arff c’est pfff trop… wahou

 

Signes que la langue babélique, appauvrissant la richesse de toutes les langues et indiquant le processus de robotisation/infantilisation/abrutissement/globalisation de l’être humain, gagne du terrain dans nos échanges et ajoute de la confusion à la débauche de communication dans laquelle nous entraînent les médias et internet actuels : les onomatopées.
 

 

Les Waou, hop, Ouha, ho, Oh la la, hu hu hu, se multiplient ! La démission intellectuelle, la paresse, la vulgarité, le mimétisme dépersonnalisant et la violence qu’elles incarnent prend pourtant la forme « tolérable » de l’innocence enfantine, de l’universalité (tout le monde peut comprendre), du comique de répétition ou d’incompréhension. En réalité, la Vérité du Verbe d’Amour (Jésus) tend à être étouffée. Le sens de ce que l’on fait et dit aussi. On nous prend pour des illettrés (à commencer par les enfants), des animaux et des robots, voire carrément des objets muets.
 

La solution à l’invasion des onomatopées : lire des livres, et en particulier la Parole de Dieu.
 

Corps/Esprit/Coeur : ce que le démon convoite en nous


 

Le cerveau humain fait des émules. Actuellement, il est frappant de voir fleurir le spiritisme rationaliste sur les scènes de théâtre ou de télé. On nous propose un choix important de spectacles basés sur le mentalisme, cette médecine parallèle divinatoire qui se donne des allures de sérieux scientifique, de miracle surnaturel, de spectacle sensationnel, alors qu’elle n’est que du charlatanisme saupoudré de mysticisme pour camoufler son imposture. Les neuro-sciences s’invitent au bal artistique pour s’imposer à nous comme un divertissement. Au fond, le diable cherche à pénétrer les trois biens que seul Dieu a donnés à l’Homme et que lui n’a pas : le corps, l’Esprit, le coeur. L’invasion artistique du mentalisme n’est que la démonstration de cette quête diabolique de possession de l’Esprit, cette quête du Graal qu’est le cerveau humain. L’ultime étape après le corps et le cerveau, ce sera le marchandage du Coeur, de l’Âme.
 


 
Cas de microencéphalie

Cas de microencéphalie

Conférence « À quoi reconnaît-on un génie ? » au Grand Palais

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Je me suis rendu hier à la conférence « À quoi reconnaît-on un génie ? » qui s’est tenue au Grand Palais à Paris (le 1er février 2016). Je n’ai pas été étonné par la tournure idéologique du débat : discours anthropocentré et inconsciemment franc-maçon, athéisme obligatoire, préfiguration du spiritualisme scientiste que le Gouvernement Mondial va mettre très bientôt en place. Étaient présents à cette table ronde animée par Arnaud Laporte : le mathématicien Nicolas Gauvrit, le philosophe et physicien Étienne Klein, le professeur François Laroque, la réalisatrice Henriette Chardak.
 

Albert Einstein

Albert Einstein


 

Concernant le génie, les intervenants le définissait comme une affaire de personnalité originale, de créativité, de capacité, de bizarrerie « incompréhensible d’être parfois trop simple », d’éclair foudroyant, de mystère (dixit François Laroque), de savoir-faire, de créativité (dixit Nicolas Gauvrit), comme le fruit d’un accident (dixit Arnaud Laporte), d’une génération (Henriette Chardak), du « hasard » (Nicolas Gauvrit), d’une « crise » (Étienne Klein), d’une heureuse « contestation », d’un insolent mais naïf (donc jubilatoooire) « anticonformisme » (dixit Arnaud Laporte, le présentateur snobinard bobo de service).
 
extraordinaires
 

Mais ils s’interdisaient tous de parler de génie en tant que DON, et encore plus de don divin et CHRISTIQUE. Le gros mot, c’est vraiment « Dieu », c’est « le Christ », c’est la « croyance » ! La seule qui s’est vaguement risquée à extraire le génie de l’humain de l’énigme anthropocentrée, pour le connecter à une réalité qui dépasse l’Homme, c’est Henriette Chardak : elle a évoqué « l’Amour », « la poésie » ainsi que la « conscience » chez les génies « de leur exceptionnalité », de quelque chose au-delà d’eux-mêmes. Mais ça n’est guère allé plus loin. Elle s’est tout de suite dédouanée d’un quelconque mysticisme : « Attention, je ne défends là aucune croyance religieuse. » a-t-elle rajouté, comme si elle allait se faire mitrailler sur place d’avoir osé déborder de la frontière de la rationalité scientifique. Sinon, pas un des invités n’a été fichu de voir dans le génie une explication plus surnaturelle, transcendante, voire même divine ou christique. Le sarcastique Étienne Klein a même trouvé le moyen de glisser à la fin de la conférence une attaque anticléricale en rappelant le cas de l’anarchiste Bruno Giordano qui avait été brûlé par l’Église soi-disant parce qu’il s’était opposé à la croyance en la virginité de la Vierge Marie.
 

Il semble que ces cercles de savants-philosophes cyniques passent sous silence toute la dimension humaine de la croyance, de l’amour, des sentiments, de la foi, pour n’étudier l’Homme que comme un amas de cellules, une machine un peu plus complexe que les autres (mais un système quand même), un accident physique qui un jour sera expliqué. C’est aberrant, une telle omission. Pourtant, l’être humain est par essence corporel et spirituel, réel et désirant, cartésien et croyant. Il est cœur, corps et âme, tout en Un ! Et cette unité pacifiante, vitale, entre les trois est permise par Dieu. Pourquoi avoir si peur de trouver à l’Homme une origine plus grande et pourtant plus humble (parce qu’aimante) que Lui ? L’orgueil de ces « savants du génie uniquement humain » (et surtout pas divin) m’a sauté aux yeux et aux oreilles hier après-midi.

 

Une autre question me travaille également concernant le thème du génie (et plus globalement des talents). Je trouve qu’on se trouve aujourd’hui à une époque paradoxale, où à la fois on isole les génies en les transformant en exceptionnalités hors du commun, à la fois on promet une accessibilité générale aux talents, une mondialisation du génie, une potentialité d’exceptionnalité à tout le monde (même aux enfants : cf. le phénomène récent des « surdoués » ou des « enfants précoces »), une généralisation de l’exception par la bonne intention (« Tout le monde doit être génial parce que tout le monde a des qualités »), par les progrès des sciences (et notamment des neurosciences), par le perfectionnement technique de la créativité (audiovisuelle, artistique, musicale…), au nom de la simplicité et de l’humanité des vrais génies (qui sont d’abord des hommes comme tout le monde). En gros, voilà un peu l’injonction paradoxale qui en ressort : « Les génies sont rares » et « tout le monde est rare… donc tout le monde est génial ». Se vérifie derrière ce démagogique syllogisme de l’individualisme de masse la funeste prédiction du méchant Syndrome dans le film d’animation « Les Indestructibles » (2004) de Brad Bird : « Si tout le monde est exceptionnel, plus personne ne le sera. » (J’entends « exceptionnel » ici non pas dans le sens divin de « l’exceptionnalité dans la vulnérabilité de l’Amour de Jésus », mais bien d’« exceptionnel » dans le sens mondain de « performance »).
 

Cette tendance à isoler, à déchristianiser puis à universaliser le génie, on l’observe actuellement très bien dans les émissions de télé-réalité, de plus en plus branchées hypnose, neuroscience, psychologie, écologie du futur, savoir-faire. La généralisation du génie humain (La France a un incroyable talent ; The Voice ; Les Extraordinaires ; Stars sous hypnose) se rapproche du culte de l’Être suprême fomenté par les philosophes des Lumières (XVIIIe siècle). Ce n’est pas pour rien que pendant la conférence, François Laporte a employé plusieurs fois la périphrase « Génie Universel ». Je crois que le génie, tout en étant présenté pour le spectacle comme un fait magique isolé, est un projet mondial concrètement visé par nos architectes du Gouvernement Mondial. On veut faire de nous tous des génies, dans une forme d’eu-génie-sme écolo-technico-spirituel, si je puis dire. Il existe vraiment un projet (à mon avis antéchristique) pour universaliser le génie humain en vue de créer une humanité améliorée, augmentée, « parfaite » (sans le Christ), immortelle, capable de tout par elle-même, à proprement parler « géniale », en vue d’exploiter chez l’Homme toutes ses « potentialités » insoupçonnées, potentialités voulues « illimitées ». L’orgueil habillé en vert et en habit de lumière technologique !

 
We love
 

Le plus inquiétant dans cette phobie de la transcendance (qu’on peut observer chez les débateurs du génie), dans cette mise à l’index de la croyance chez l’Homme (alors que la foi constitue une très grande part de sa nature), dans cette rupture orchestrée entre science et divinité, c’est qu’elle prépare un amalgame de la Science et de la Croyance entre elles, justement. Un amalgame pas très heureux s’il ne se fait pas en Christ. Fuyez le naturel, il revient au galop ! Les chercheurs, mis de plus en plus scientifiquement devant les limites de la matière, tout en en décelant le mystère et la potentialité qui la dépassent, vont très vite (et beaucoup plus vite qu’on ne le croie) basculer de l’athéisme le plus radical vers le scientisme le plus superstitieux (comme on peut déjà le constater dans ce reportage sur la Pyramide de Khéops, où des savants de renom nous prouvent le plus scientifiquement du monde que certains monuments, n’ayant pas pu être construits par des Hommes, n’ont pu qu’être le produit de forces extra-terrestres). La fusion entre science et sentiment, technologie et croyance, est imminente et, je l’admets, inattendue.