Merde alors !


 

L’air de rien, notre Monde est petit à petit en train de nier la MERDE, c’est-à-dire la mort, le mal, les fautes, la colère, les péchés, la violence, la souffrance, la vieillesse, le handicap, les guerres, dans nos vies. Attitude kitsch par excellence : Milan Kundera écrivait, dans L’Insoutenable légèreté de l’être, que « le kitsch est le paravent qui dissimule la merde ».
 

Je regarde cet extrait de Florence Foresti imitant Adjani, et je constate que la police puritaine des réseaux sociaux a discrètement gommé le moment où elle prononce le mot « merde » (c.f. le remake du « Père Noël est une ordure »). Les gros mots, et même les insultes, qui nous inscrivent malgré tout dans notre Humanité (pécheresse), sont de plus en plus supprimés par le Gouvernement Mondial et par la Bête antéchristique qui souhaite en garder le monopole (Dans le livre de l’Apocalypse, il est dit que la Bête portera seule des couronnes, des sceptres et des titres blasphématoires : le reste du Monde sera réduit à l’esclavage policé et aseptisé de la « paix », de l’ « équilibre » et de la « sécurité ».)
 

Merde alors!
 
 
 

N.B. : Voici la version en un peu moins censurée.

La corruption généralisée des médias « catholiques » actuels à l’esprit du Monde : le cas du journaleux Xavier Sartre sur Radio Vatican

Je vous présente un koala… pardon, un chroniqueur de radio chrétienne


 

Je viens d’écouter par hasard le flash info de Radio Vatican francophone « animé » par un illustre inconnu de Radio France : un dénommé Xavier Sartre. Et au-delà du contenu de ce flash (qui, en intentions, se veut réaliste, scientifique, alarmiste mais sérieux, et qui en réalité est mensonger, terroriste, indigent et limite absurde : c’est du recrachage de dépêches AFP opéré par un type qui n’est pas sur le terrain et qui ne sait pas de quoi il parle), j’ai été frappé par la forme, c’est-à-dire par le formatage (mondialiste, technocratique et bestial à la fois) d’une antenne qui pourtant est censée émaner du coeur de l’Église Catholique et du pape. Pauvre pape françois : il est désormais encerclé par les loups (…et les koalas).
 

Ces journaleux – je prends Xavier Sartre car c’est un cas d’école mais j’aurais tout aussi bien pu parler de Marie-Ange de Montesquieu et Louis Daufresne sur Radio Notre-Drame, d’Antoine Pasquier de Famille Païenne, ou bien de n’importe quel autre chroniqueur de radio chrétienne d’aujourd’hui (ce sont tous les mêmes lâches et profiteurs) – ont pour particularité de :
 

1 – être des imposteurs dont on n’identifie quasiment pas la Foi (car ils ont été recrutés par les diocèses plus pour leur compétences techniques que pour leur adhésion de coeur au Christ et à l’Église : et le pire, c’est qu’on peut mettre dans le lot même la plupart des curés médiatiques et les bons pères de famille qui vont tous les dimanches à la messe : C.V. catho parfait pour faire couverture et illusion séductrice). D’ailleurs, ils ne parlent jamais de Jésus : les rares fois où ils se risquent à parler « catho » (pour justifier un peu leur statut de journaliste chrétien), ils remplacent Jésus par le Pape, ou bien la Foi par les affaires burocratiques (croustillantes) de l’Église-Institution; et les prêtres fonctionnarisés qui sont chargés de parler explicitement de Jésus évoquent plus un « Jésus pour les enfants » ou développe une théologie positiviste qui va très rarement dénoncer les maux de notre temps.
 

2 – être des maîtres-chanteurs : tout pendant qu’ils répètent les poncifs de l’actualité mondaine catastrophiste ou folkloriste bobo (« on va raconter les jolies traditions chrétiennes : du côté de chez vous »), ils le font en chantonnant. Xavier Sartre, c’est tout à fait ça : la respiration travaillée, la ponctuation, la même intonation pour finir les phrases et leur donner un hypocrite dramatisme de neutralité. Juste horrible. L’humoriste Alex Lutz a parfaitement croqué l’insupportable ritournelle journalistique mainstream qui a malheureusement envahi les médias catholiques (qui ne sont plus catholiques et qui sont pourris jusqu’à la moelle). Et bien entendu, tout le monde s’est habitué à se faire bercer par ces maîtres-chanteurs, et personne ne les dénonce. Ces imposteurs ont le champ libre. Ils ont en plus pour particularité de ne quasiment pas se montrer (ils sont planqués derrière leur micro), de parler derrière un masque (ou un profil vide), de ne pas prendre de risques, de s’adresser à un public affaibli et muselé (en gros = des vieux et des pieux). Comme ça, ils deviennent des indéboulonnables intouchables (ça fait parfois plus de 20 ans qu’ils sont là…), invisibles et inattaquables. Aucun évêque ne prendra son courage à deux mains pour les virer à bras raccourcis et faire un casting digne de l’annonce de Jésus. Aucun auditeur (excepté un connard comme moi) n’ira dénoncer les malversations, le petit commerce et la corruption de ces planqués de l’Église qui ne laisseront jamais leur nom dans l’Histoire du journalisme ni même de leur organe de presse.
 

3 – être des profiteurs et des parasites de l’Église (les fameux marchands du Temple virés par Jésus) : ils se font du fric sur le dos de Dieu, sont même prêts à dépouiller des veuves et des vieillards désargentés pour consolider leur propre stabilité de carrière. Ils pullulent en ce moment sur les chaînes catholiques et les réseaux sociaux, font leur beurre sous l’étendard de la solidarité, de l’écologie, et du Vatican, pensent que leur statut de petits salariés voire de bénévoles « au SERVICE » les blanchit aux yeux du Monde. En réalité, qu’ils se détrompent : même un bénévole peut être un arnaqueur-emmerdeur complètement intéressé car il occupe un poste qui pourrait être pris par quelqu’un de plus utile, de plus intéressant et de largement plus prophétique que lui, et parce qu’il tire mine de rien beaucoup d’intérêt à être exposé et occupé, même si c’est en mode « espion » ou « voix-off des mamies » et « radios catho régionale/marginale » : l’influence, la visibilité, le pouvoir, la carrière, mine de rien, ça donne un petit prestige et une importance mondaine autre que l’argent, mais tout aussi addictifs. C’est con : moi je croyais que l’annonce de l’Évangile, plutôt que de faire gagner sa vie à quelqu’un, ça la lui coûtait … Alors bien sûr, ces grippe-sous et grippe-notoriété me diront que leur activité ne fait pas d’eux des stars et ne leur fait pas gagner des mille et des cents: mais c’est toujours ça de pris pour l’ego (j’ai été longtemps chroniqueur bénévole en radio donc je sais de quoi je parle) et ça nourrit quand même son homme et fait bouillir la marmite de la petite famille.
 
 

J’ai bien conscience que mon billet d’humeur n’aura aucune force de frappe (les évêques et les cardinaux actuels étant dans leur immense majorité tout aussi corrompus au pouvoir, à l’argent et à la sexualité, que les journalistes « chrétiens » actuellement en poste…). Mais je tenais quand même à leur dire que leur business et leur arrivisme ne passaient pas tout à fait inaperçus. Little Spider is watching you !

Une amie m’a montré les sites de rencontres hétéros : c’est à pleurer

Une amie m’a montré sur son portable les profils des hommes sur l’application Tinder : c’est à pleurer. Et je ne parle même pas de ceux qui assument de chercher des plans cul, mais bien des annonces des mecs hétéros qui précisément cherchent « du sérieux ». Sans rire, leurs seuls combats et centres d’intérêt dans leur vie, se résument à 4 mots : cinéma / sport / cuisine / voyages. Rien d’autre. Ah si : moto ou bagnole et bière. C’est ça, les activités et les raisons de vivre de 90 % des hommes de 2022. C’est la grosse pitié. C’est le boboïsme dans toute sa splendeur, basé sur la recherche du bien-être et le culte du corps et de la Nature. Zéro spiritualité et zéro croyance en Jésus et au Père Créateur. La totale misère. Je comprends le désarroi des femmes d’aujourd’hui.

Je déménage en Caroline du Nord (Diocèse de Raleigh) !

Wow ! Je suis époustouflé par le diocèse nord-américain de Raleigh que je viens de visiter pendant quelques heures virtuellement. Une vitalité (des groupes de jeunes adultes à gogo, par exemple), une proposition, une diversité, une jeunesse, des croyants et des prêtres visiblement équilibrés, un ancrage dans la Foi et dans l’Église et dans le Monde, des communautés joyeuses… Mazette : c’est magnifique ! Si l’Église catholique en France se casse un jour la gueule, je déménage en Caroline du Nord aux States, je vous le dis !^^
 

 

Et pourtant, vous savez, j’en vois, des diocèses de partout dans le Monde (anglophones, hispanophones, germanophones, italophones, francophones)… et qui, pour la plupart, puent tellement la mort et la corruption matérialiste et idéologique (soutien à l’Ukraine, aux « vaccins » contre le COVID et aux mesures sanitaires, parfois gays friendly, se revendiquant « Église verte », ou bien tacitement « Église pédophile » – il y a l’onglet de délation et de dénonciation des « abus sexuels » à l’entrée -, etc.) que c’est à se barrer de l’Église en courant.
 

Mais le diocèse de Raleigh, de ce que j’en vois, fait exception… ça rassure un peu sur l’Église Universelle !
 

Le péché originel, ce n’est pas que manger la pomme, mais vouloir être la pomme

Il m’est d’avis que le péché originel, ce n’est pas que la gourmandise, mais le naturalisme : le fait que l’homme et la femme préfèrent s’identifier à un fruit (la pomme en l’occurrence ; et « adorer » signifie « vouloir être comme ») plutôt qu’à leur divinité-humanité en Jésus-Christ. La publicité de Yoplait illustre tout à fait cette adoration/idolâtrie peccamineuse de l’Humain pour les fruits et pour les abeilles (considérées par certains articles comme les êtres vivants les plus importants de la Planète : rien que ça !). La pomme comme miroir narcissique embellissant et divinisant, tendue par le serpent. Et les écologistes sautent les deux pieds joints dans le plan antéchristique et homicide « Tu es un fruit et ta reine c’est l’abeille ».
 

 

Le discours (nazi) d’investiture du Connard hier soir


 

Mots de conclusion du discours d’investiture du Connard hier soir : « Chacun d’entre nous compte plus que lui-même. »
 

Si ce n’est pas la phrase la plus communiste et la plus nazie qui soit, qu’est-ce que c’est? (Et c’est un expert des fascismes comme moi, qui a étudié le nazisme depuis 20 ans, qui vous le dit). #MacronDictateur
 

N.B. : Le Connard s’appuie beaucoup également sur la notion maçonnique de « Force » et d’« Unité. » que vous retrouvez dans mon Dictionnaire des Codes Apocalyptiques (et je vous renvoie en particulier au code « Vous »).

Donc selon certains, Macron « n’est pas arrogant »…


 

Ceux qui ne voient même pas que Macron a été arrogant lors du débat présidentiel… euh, comment vous dire?… Je trouve ça vraiment problématique. Vous êtes prisonniers d’une naïveté (gauchiste et bobo) consistant à diaboliser ce qui médiatiquement vous est désigné comme « extrême » (et en particulier « extrême-droite »)… comme si Macron n’était pas à sa manière « extrême ». Ça me freine et me déçoit, ce dressage d’aveuglés (qui ne souffrent même pas le dialogue et l’explication : certains d’entre vous me soutenez que « ce qui est extrême ne se discute pas »), ce simplisme manichéen suiveur (« Le mal c’est l’extrême. Et celui qui se présente comme l’ennemi des extrêmes, c’est le Gentil. » = raisonnement stupide, puisque même Hitler, en son temps, s’est présenté comme « ennemi des extrêmes » ! Nos contemporains ont vraiment la mémoire courte…), cet assujettissement à la pensée commune (« Au mot ‘extrême’ tu aboieras. »). Et pourtant, je suis de gauche, je ne voterai pas Marine, et suis en ce moment entouré de musulmans, d’étrangers et de pauvres. Mais je trouve votre simplisme idéologique peu subtil et peu courageux. Ça ne me séduit pas. Le macronisme (pour ceux qui, comme moi, étudient depuis longtemps les fascismes et le nazisme historique) est une dictature néo-communiste ET néo-nazie (car Macron entend numériser toute vie humaine)… sauf qu’à la différence du nazisme (littéralement « national-socialisme »), il est un « international-socialisme » passant par la case internationaliste de « l’Europe ». Autant j’ai vraiment du mal à m’entendre avec des militants de droite (et à plus forte raison, d’extrême droite : lepénistes, zemmouriens), autant il m’apparaît presqu’impossible d’être compris des gauchistes (et, s’ils sont macronistes, des gens d’extrême « gauche »). Je suis trop attaché aux pauvres et à Jésus. Qu’est-ce que vous feriez si vos amis soutenaient le « vaccin », les mesures sanitaires totalitaristes, et trouvaient Macron « gentil » alors que c’est à l’évidence un pion des Big Pharma, des Big Data et du Gouvernement Mondial ? Si Vous lisez un peu l’Histoire, vous verrez qu’aucune dictature ne s’est avancée sans se présenter comme ennemie d’un « extrême ». C’est vieux comme le Monde. Et on est tous l’extrémiste de quelqu’un.

L’horreur du confinement à Shanghai

Je suis horrifié par le confinement et le traitement de la population que je vois actuellement à Shanghai. C’est abominable. Presque toutes les vidéos montrant les gens enfermés chez eux dans les buildings et hurlant leur détresse ont été censurées sur les réseaux sociaux. Il y a même des drones vociférant des messages dissuadant la population de s’exprimer sur Internet. Les services sanitaires embarquent les « rebelles/malades » de force alors même qu’on peut douter de leur supposée contagiosité. Pour ces dernières 24h, les autorités annoncent 25 000 nouveaux cas de COVID, parmi lesquels 21 000 « asymptomatiques » ! Ça veut dire, en gros que n’importe qui peut être interné ou être décrété « contagieux », même s’il n’est pas réellement malade, juste parce qu’il refuse de se faire tester, juste pour le réduire au silence ou l’incarcérer dans des centres de détention dits « sanitaires ». Et ce n’est pas dit que cette dictature de la santé/sécurité n’arrive pas prochainement en Europe.

Un retour en force hallucinant du SECRET (le baiser lesbien dans Buzz l’Éclair)


 

Une amie vient d’aller voir en avant-première le futur dessin animé des studios Disney, « Buzz Lightyear » (« Buzz l’Éclair ») qui sortira en salles prochainement (et où il y aura un baiser lesbien), pour répondre à une enquête de satisfaction et servir de public-test. On lui a fait signer une clause de confidentialité (tu promets sur l’honneur que tu ne parleras pas au monde extérieur de ce que tu as vu : peut-être est-ce une manière détournée de stimuler les fuites, de faire de la pub à ce film et de lui donner une importance qu’il n’a pas…) ; tous les téléphones portables ont été pris à leur propriétaire à l’entrée de la salle de cinéma et insérés dans une pochette opaque ; et dans le questionnaire, on leur a demandé individuellement s’ils étaient « homme » ou « femme » ou « non-binaire » (vive le Monde dans lequel on va…). Bref.
 

On assiste en ce moment à un retour en force du SECRET. Et on pourrait s’en réjouir, a priori, car « Secret = Respect » et même « Vérité » (une certaine forme de « Vérité » bien gardée). Mais pas du tout. C’est très inquiétant. Vu que ce secret, idéalement relié à une belle réalité (Jésus, une révélation incroyable, une promesse, un cadeau à venir…) et à une relation de confiance, est au contraire relié au mensonge, à des actions mauvaises ou financières (le secret est le socle de la Franc-Maçonnerie) et à l’inverse de la confiance à savoir la peur et la menace (judiciarisation de la confidentialité sous peine de poursuites et de persécutions en cas de fuite des infos et des données : le secret, s’il est violé ou dénoncé, sera considéré dans certaines circonstances comme un scandale ou un acte de haute trahison qui enclenchera/justifiera le cercle vicieux de la délation, de l’emprisonnement hermétique, de l’étouffement voire de l’assassinat).
 

Mais ce n’est pas, à mes yeux, le plus bluffant. Ce qui m’époustoufle le plus, c’est le pouvoir de cette omerta. Car cette dernière a vraiment une force inouïe, je trouve. Monstrueuse, même. Pourquoi ? Parce que le secret parvient à être confié et gardé de manière inviolable par des personnes pourtant fragiles psychologiquement, parfois exhibitionnistes, bavardes et incapables en temps normal de conserver un secret. Ça, c’est très fort ! Je pense aux candidats de télé-réalité tels que Les Anges ou L’Amour est dans le pré ou Mariés au premier regard : par quel miracle parviennent-ils à ne pas trahir leur clause de confidentialité ? Il faut vraiment que celle-ci soit béton ou ultra dangereuse (limite homicide : une question de vie ou de mort pour eux), pour qu’elle tienne ! Il faut vraiment que la Grande Loge soit quasi omnipotente et ait les yeux partout !