Corps/Esprit/Coeur : ce que le démon convoite en nous


 

Le cerveau humain fait des émules. Actuellement, il est frappant de voir fleurir le spiritisme rationaliste sur les scènes de théâtre ou de télé. On nous propose un choix important de spectacles basés sur le mentalisme, cette médecine parallèle divinatoire qui se donne des allures de sérieux scientifique, de miracle surnaturel, de spectacle sensationnel, alors qu’elle n’est que du charlatanisme saupoudré de mysticisme pour camoufler son imposture. Les neuro-sciences s’invitent au bal artistique pour s’imposer à nous comme un divertissement. Au fond, le diable cherche à pénétrer les trois biens que seul Dieu a donnés à l’Homme et que lui n’a pas : le corps, l’Esprit, le coeur. L’invasion artistique du mentalisme n’est que la démonstration de cette quête diabolique de possession de l’Esprit, cette quête du Graal qu’est le cerveau humain. L’ultime étape après le corps et le cerveau, ce sera le marchandage du Coeur, de l’Âme.
 


 
Cas de microencéphalie

Cas de microencéphalie

Subjectivité rationnaliste

Vincent-Rouyer

“Le problème est qu’on est en train de remplacer subrepticement les fondements de la morale qui reposaient sur la raison et le principe de réalité par le désir, l’émotion et le sentiment subjectif. Et le plus beau, c’est que nos nouveaux moralistes toute honte bue n’hésitent pas à tordre la raison et la réalité par une succession de sophismes afin de les mettre au service du désir tout-puissant.”

Vincent Rouyer

Désaffection pour la Justice (La Grande Braderie avant la fermeture du magasin, fermeture devinée par Taubira)

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Que faire pour sauver le système judiciaire national et mondial, complètement perverti par des ministres véreux comme Christiane Taubira, et dans lequel les « droits » désincarnés (exemple : le droit au « mariage » pour les unions de même sexe) et les magistrats inutiles pullulent pile au moment où les lois ne veulent plus rien dire et ne protègent plus personne, sont déconnectées du Réel et du Christ, à l’instar de l’emballement des cotes de la Bourse et du nombre de billets en temps de krach financier, à l’instar de la profusion de flics juste avant l’aire du « tout individuellement et technologiquement sécurisé » ? Que faire contre la désaffection nationale pour le système judiciaire et les avocats qui vont connaître le sort funèbre des caissières de supermarché ? Ben le bracelet connecté, bien sûr ! Pas de quoi paniquer, voyons !
 

La Grande Braderie... juste avant la chute

La Grande Braderie… juste avant la fermeture du magasin (fermeture devinée par Taubira)

« Il Gender non esiste » : hanno in parte ragione (traduzione francese)

il gender

 

Alcuni italiani, come già avviene Francia, hanno iniziato a lamentarsi della pretesa « malafede » dei difensori del « matrimonio per tutti » i quali affermo che « il Gender non esiste ». Ma questa non è malafede. Davvero. È in perfetta buona fede che mentono. E la loro menzogna contiene una verità che gli oppositori del Gender farebbero meglio ascoltare !
 

In realtà, il Gender non esiste se ci riferiamo a ciò che è nel cuore dei nostri avversari, che va designato piuttosto come eterosessualità. Questo è ciò che ho spiegato a Torino nel mese di luglio. Il Gender esiste nel cuore dei nostri avversari (e anche del 90% dei cattolici che confondono le differenze di genere con l’eterosessualità) sotto forma di eterosessualità. L’eterosessualità è una parodia della sessualità, è il diavolo travestito da differenza di sessi, è il cavillo retorico dell’omosessualità, e in fin dei conti è il libertinaggio bisessuale (etimologicamente, eterosessualità = « tutte le alterità al livello della sessualità »). Tutte le leggi che difendono l’omosessualità si basano sull’eterosessualità. La Chiesa cattolica non ha mai difeso l’eterosessualità (peraltro, nemmeno l’ha mai denunciata…).
 

Così, invece di presentarsi come vittime, gli oppositori del Gender dovrebbero essere oppositori dell’eterosessualità. Ciò permetterebbe loro di non collaborare inconsapevolmente con i loro avversari, e di non sentirsi impotenti, intrappolati. E soprattutto, potrebbero in questo modo evitare di difendere il Gender nella sua altra forma, la più comunemente accettata: quella dell’eterosessualità.
 

Il Gender esiste come ideologia etero-bisessuale. È per questo che abbiamo bisogno di parlarne. E l’omofobia esiste come « paura dell’uguale a sé », come « paura dell’omosessualità e degli omosessuali», come « attacchi reali contro le persone omosessuali », e come « identità e pratica omosessuale ». Anche in questo caso, dobbiamo parlarne.
 
 
 

Certains Italiens, comme en France, commencent à se plaindre de la soi-disant « mauvaise foi » des défenseurs du « mariage pour tous » qui disent que « le Gender n’existe pas ». Mais ce n’est pas de la mauvaise foi. Vraiment. C’est de bonne foi qu’ils mentent. Et leur mensonge contient une vérité que les anti-Gender feraient mieux d’écouter !

 

En effet, le Gender n’existe pas comme dans les termes qu’il existe dans le coeur de nos opposants, puisqu’il se nomme hétérosexualité. C’est ce que j’ai expliqué à Turin en juillet. Le Gender existe dans le coeur de nos opposants, et même dans 90% des catholiques qui confondent la différence des sexes avec l’hétérosexualité, en tant qu’hétérosexualité. L’hétérosexualité est une parodie de la sexualité, le diable déguisé en différence des sexes, la cheville rhétorique de l’homosexualité, et en réalité le libertinage bisexuel (étymologiquement, « toutes les altérités au niveau de la sexualité »). Toutes les lois qui défendent l’homosexualité s’appuient sur l’hétérosexualité. L’Église catholique n’a jamais défendu l’hétérosexualité (mais ne l’a jamais dénoncée non plus…).

 

Alors au lieu de victimiser, les anti-Gender devraient être des anti-hétérosexualité. Ça leur éviterait de collaborer inconsciemment avec leurs opposants, et de se sentir impuissants, piégés. Et surtout, ça leur éviterait de défendre le Gender sous son autre forme la plus communément admise d’hétérosexualité.