J’avoue, ça m’a fait rire. Même si ça dit bien la tendance incestuelle au matricide, qui envahit notre époque.
Cathos Unis Contre l'Hétérosexualité. Un mouvement apoliticien et confessionnel assumé.
J’avoue, ça m’a fait rire. Même si ça dit bien la tendance incestuelle au matricide, qui envahit notre époque.
Qu’est-ce qu’il y a au théâtre ce soir ?
« Ma puissance se déploie dans la faiblesse. » (2 Co 12, 9)
Nous ne pourrons pas bien parler de la Vie ni de la Miséricorde si nous ne parlons pas de la mort, du mal et de la misère, que la Vie transcende. Sinon, notre discours positif restera désincarné et ne touchera pas les gens de notre temps, qui n’identifient pas le mal qui les fait souffrir. Du cœur de Jésus Miséricordieux jaillissent deux fleuves : un blanc et un rouge. La Vie et la Souffrance. Le Pain et la Coupe. Vous voyez les nuages, et vous dites qu’il fait beau et que tout va bien ?? Hypocrites ! dit Jésus (Luc, 12 : 55)
L’Année de la Miséricorde, ce n’est pas une initiative hasardeuse du Pape. Un truc gentillet qu’il a sorti de son chapeau pour faire bien, gentil et pieux. Il y a une gravité derrière ce thème et dans ce choix. Il y a une raison eschatologique, une perspective de Justice après le temps de la Miséricorde. Le Pape connaît le programme des fins dernières. Il sait notamment le rôle de la France et la Pentecôte-moisson de sainteté qui attend ce pays. Il y a une vraie gravité derrière la Miséricorde : la Victoire de la Croix après la Passion.
Signes que la langue babélique, appauvrissant la richesse de toutes les langues et indiquant le processus de robotisation/infantilisation/abrutissement/globalisation de l’être humain, gagne du terrain dans nos échanges et ajoute de la confusion à la débauche de communication dans laquelle nous entraînent les médias et internet actuels : les onomatopées.
Les Waou, hop, Ouha, ho, Oh la la, hu hu hu, se multiplient ! La démission intellectuelle, la paresse, la vulgarité, le mimétisme dépersonnalisant et la violence qu’elles incarnent prend pourtant la forme « tolérable » de l’innocence enfantine, de l’universalité (tout le monde peut comprendre), du comique de répétition ou d’incompréhension. En réalité, la Vérité du Verbe d’Amour (Jésus) tend à être étouffée. Le sens de ce que l’on fait et dit aussi. On nous prend pour des illettrés (à commencer par les enfants), des animaux et des robots, voire carrément des objets muets.
La solution à l’invasion des onomatopées : lire des livres, et en particulier la Parole de Dieu.
“Les socialistes veulent la majorité sexuelle à 14 ans. Les vieux démons soixante-huitards reviennent par la fenêtre après avoir été chassés par la porte : la légalisation en douceur de la pédophilie en commençant par l’éphébophilie. Triste et hypocrite société qui ne cesse de s’indigner des turpitudes qu’elle s’ingénie à favoriser.”
Vincent Rouyer
“La question de l’homosexualité est moins celle de la loi que celle de la vérité sur le désir homosexuel. Nier que ce désir n’est pas ordonné au plan divin, qu’il n’est pas orienté vers le bien, le considérer comme banal, c’est simplement malhonnête envers les personnes homosexuelles. C’est un déni de réalité et un déni de souffrance. La miséricorde envers les personnes n’est réellement vraie que si elle s’accompagne d’une dénonciation du mal dans les actes comme dans les désirs. Le vrai pharisaïsme c’est justement le déni du péché et du mal.”
Vincent Rouyer
“Après la généralisation du tiers payant visant à déresponsabiliser les patients, la suppression de la notion de détresse puis du délai de réflexion avant l’avortement (pour les socialistes une femme, ça ne souffre pas et ça ne réfléchit pas) notre gouvernement poursuit inexorablement son œuvre morbide de destruction de la société en accordant aux sages femmes (qui n’ont rien demandé) la possibilité de prescrire des traitements abortifs et de s’associer à la vaccination (sic- on se demande ce qui se cache derrière cette formulation élégante). Nul doute que la prochaine étape consistera à transformer la possibilité en obligation et à ne pas se contenter de la prescription d’abortifs. Devant les réticences exprimées par un nombre croissant de médecins, le gouvernement a trouvé la parade en tentant de mobiliser les sages femmes. Ça promet…”
Vincent Rouyer
“Vu hier dans le métro la dernière une du ‘Nouvel Obs’ affichant un portrait de Christiane Taubira affublé du sous titre ‘l’Insoumise’. Jusques à quand les médias continueront-ils à se foutre de nous avec de telles inversions des valeurs ? Plus soumise au diktat de la pensée unique au politiquement correct et au boboisme parisien bisexualisant on fait difficilement mieux que Christiane Taubira.”
Vincent Rouyer
“ Nos idéologues modernes qui prétendent remplacer l’identité sexuée par l’orientation sexuelle veulent lutter contre les ‘stéréotypes de genre’ qui seraient responsables selon eux de tous les maux et de toutes les discriminations. Se rendent-ils compte qu’ils sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis ? Plus une personne est affirmée dans son identité sexuée, moins elle a besoin de stéréotypes. Si l’on veut vraiment lutter contre les stéréotypes de genre, aidons les enfants à s’affirmer dans leur identité d’hommes et de femmes.”
Vincent Rouyer
J’aime bien ces personnes qui se disent « cathos »… et qui, dans la même phrase, rejettent l’Église-Institution et les cathos (Message que je reçois à l’instant sur ma boîte mail : « Bonjour mon grand!! Essaye d’accepter ton homosexualité et de comprendre qu’une relation homo ce n’est pas malsain, bien au contraire ça aide à grandir et à se construire. J’espère que tu pourras un jour le vivre. Je suis homo et catho mais l’église est trop mortifère et prisonnière de ses principes. ») Un peu comme Erwann Binet ou Cécile Duflot, qui prônent le « mariage pour tous » tout en faisant croire qu’ils sont « cathos ». Le pharisianisme (ou pharisaïsme) dans toute sa splendeur ! À un moment donné, il faut savoir choisir son camp et surtout son Maître.
Lors des Auditions à l’Assemblée Nationale qu’il a organisées, le député socialiste Erwann Binet, justement, a eu une drôle de manière d’accueillir les responsables religieux. Il les a écoutés en dernier, loin des caméras de télé, et s’est contenté de leur demander dédaigneusement : « »