Maltraitance des hommes par les femmes


 

En ce moment, on observe un phénomène de plus en plus flippant pour notre monde qui nous impose une inversion complète des valeurs tout comme une transgression des différences fondatrices de l’Humain (à commencer par la différence des sexes) : l’autoritarisme des femmes à l’égard des hommes, soi-disant justifié par des millénaires de « domination masculine » (mythe construit de toutes pièces par les féministes qui ont une revanche à prendre sur l’arbitraire de la sexualité). Et si encore c’était pour les bonnes raisons que les femmes médiatiques faisaient leur loi et recadraient les hommes médiatiques… Mais même pas. L’autoritarisme misandre s’exerce en plus sur le paraître, le mensonge, l’humiliation ou le nivèlement par le bas. Tout pour rabaisser les hommes et les caricaturer en bébés, en faux princes charmants, en mauviettes, en brutes, qu’ils ne sont pas. Ça commence par la taquinerie humoristique, et ça finit en humiliation.
 

 

Alien Theory

Je suis en train de regarder en direct l’émission-documentaire « Alien Theory », sur la chaîne Numéro 23. Soi-disant scientifique. Mais qui fait en réalité l’apologie du diable.
 

Ce qui est bluffant, c’est que ce documentaire présente Satan comme un esprit supérieur, un gentil Prométhée qui est venu apporter le Savoir et la « connaissance divine » à l’Humanité, et qui aurait été décrit par les catholiques et les traditions religieuses comme un ignoble monstre parce que ces derniers auraient voulu maintenir les êtres humains dans l’ignorance et dans la soumission. « Satan a été incompris et dénaturé par l’Histoire. Or il était là pour nous civiliser, nous aider. » ; « Ce personnage était peut-être bon… » ; « Le diable n’est sans doute pas le méchant qu’on nous a dépeint. La Lumière n’existe pas sans l’obscurité. Ni le bien sans le mal ». C’est bien entendu la thèse manichéenne et relativiste de la Franc-Maçonnerie : elle inverse le Bien et le mal, et fait passer Satan pour la victime d’un Dieu jaloux et qui voulait garder son savoir pour Lui. Ce sont les thèses de la Franc-Maçonnerie : le Grand Architecte (Dieu) serait le méchant, et Satan le gentil Prométhée venu dérober le feu de la Connaissance aux Hommes pour partager l’énergie divine. La Bible aurait tronqué la Vérité historique. L’Humanité serait originaire de la civilisation des Annunakis, des extraterrestres à forme humaine qui auraient créé la race humaine à partir de leur propre ADN. Le documentaire avance que si Noé a vécu 800 ans, c’est qu’il était porteur de gènes des rois sumériens extraterrestres, des déités Annunakis de Mésopotamie ayant un ADN d’immortalité.
 

Ces émissions venant des États-Unis, mais dont les messages se retrouvent dans beaucoup de médias en France, développent la théorie selon laquelle les religions sont méchantes et jalouses du diable parce qu’elles auraient voulu l’exclusivité de la possession de la Science divine et humaine.
 

Clou du spectacle : le documentaire remet en cause la véracité des possessions démoniaques, et l’existence des esprits démoniaques.
 

La grande inversion est en marche.

Musulmans, nous vous aimons


 

Discours absolument honteux. Amis Musulmans qui me lisez, sachez que les vrais chrétiens et les vrais catholiques (pas ces « chrétiens de carnaval » haineux, qui n’aiment pas Jésus, tout simplement parce qu’ils n’aiment pas et que Jésus et Marie ne sont qu’Amour dans la Vérité) se désolidarisent de ce type de discours. Nous, on vous AIME! Et VRAIMENT ! (Et je connais des Corses qui ne se comportent pas en ritals montrant les muscles et menaçants)

Prêtre égorgé à Rouen

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Je trouve toujours édifiant de voir comme les mots « barbarie », « absurdité », « monstruosité », « terrorisme », « odieux », « horreur », servent à masquer l’objet d’indignation par l’indignation elle-même. On ne désigne rien en nommant ainsi. On ne réfléchit pas. Au contraire, on magnifie, angélise, l’acte, en le déshumanisant. On le dédiabolise en l’horrifiant.

 

« ‘Monstre’ est un mot commode pour ne rien nommer du tout, et par conséquent ne rien essayer de comprendre non plus, puisqu’il s’agit aussi d’innommable, justement, de non-représentable, d’impensable. » (Philippe Muray, Festivus Festivus, p. 129)

 

En noyant le fait par la réaction et la légitime émotion qu’il suscite, les mots abstraits, aussi puissants soient-ils, ne nomment pas le mal (attaque de Satan contre Jésus ; le fait que l’islam – et non les Musulmans – soit satanique).