Et pendant ce temps-là, la journaliste Natalia Trouiller (ex-amie catho de la période LMPT) commence à vriller. Enfin… ça fait un moment qu’elle vrille! Maintenant, elle se fait la porte-parole des « victimes » d’ « abus spirituels/sectaires » (notions très floues et fourre-tout), et s’est lancée depuis un moment dans un travail d’épuration de l’Église, des « mouvements sectaires internes », en s’associant par exemple avec des gens qui m’ont traîné dans la boue, m’ont moqué, et qui sont pro droits gays (par exemple, InfoJeunesCathos). Sur la base, bien sûr, d’abus réels. Et sur la base d’un anti-gnosticisme qui est gnostique (elle prétend connaître et dévoiler des « scoops » uniquement connus d’elle!). C’est là toute la perversion de la démarche. Mais c’est ce qu’elle en fait, et le travail de sape et de « purification » de l’Église qui s’en suit, et la prétention justicière et de « transparence », qui sont problématiques et pathologiques. Par un effet d’annonce grandiloquent, elle souhaite « Une Semaine Noire », en parlant de cette semaine estivale ci. Et Natalia Trouiller étant très suivie, et les poubelles de l’Église débordantes, elle va rencontrer un certain succès dans son entreprise de démolition/dénonciation. L’accélération de la dilution ecclésiale est évidente.